
LES RESEAUX SOCIAUX
Dossier
Résumé de l’article
Notre article est basé sur les réseaux sociaux et les interactions.
Les jeunes vont-ils se grouper en fonction de similitudes (même sexe, fumeur ou non-fumeur, centres d’intérêt communs) ? Dans le même esprit, si l’on observe une communauté à un instant donné et que l’on postule que les relations que l’on y voit constituent une situation de croisière résultant d’un processus déjà ancien, quelles hypothèses peut-on faire sur ce processus ! Nous sommes conduits à considérer que le réseau que l’on observe est une réalisation d’un réseau aléatoire dans lequel la probabilité d’apparition d’un lien par exemple un travail que Philippa Pattison a réalisé avec Emmanuel Lazega.
Cette étude se compose de personnes qui sont amenées à collaborer pour traiter des dossiers, à se demander des conseils et même à nouer des liens d’amitié. Les auteurs estiment les paramètres d’un modèle qui exprime la probabilité d’apparition d’un réseau (connexion ou interaction). En matière d’amitié, c’est encore la configuration réciproque qui obtient le plus fort coefficient, la transitivité montre un coefficient positif mais nettement plus faible. Les jeunes vont-ils se grouper en fonction de similitudes (même sexe, fumeur ou non-fumeur, centres d’intérêt communs) ?
Dans le même esprit, si l’on observe une communauté à un instant donné et que l’on postule que les relations que l’on y voit constituent une situation de croisière résultant d’un processus déjà ancien, quelles hypothèses peut-on faire sur ce processus !
Nous sommes conduits à considérer que le réseau que l’on observe est une réalisation d’un réseau aléatoire dans lequel la probabilité d’apparition d’un lien de type l entre un individu i et un individu j dépend des caractéristiques de i et de j, de l’environnement relationnel de i et de j, plus généralement d’hypothèses propres à la relation l.
Philippa Pattison cite par exemple un travail qu’elle a réalisé avec Emmanuel Lazega. Cette organisation se compose de 71 personnes qui sont amenées à collaborer pour traiter des dossiers, à se demander des conseils et même à nouer des liens d’amitié. Les auteurs estiment les paramètres d’un modèle qui exprime que la probabilité d’apparition d’un réseau tel que celui qui est observé dépend de la fréquence de structures locales caractérisant des liens réciproques entre deux personnes ou transitifs dans une triade.
En matière d’amitié, c’est encore la configuration réciproque qui obtient le plus fort coefficient, la transitivité montre un coefficient positif mais nettement plus faible. Ils analysent également les combinaisons entre les trois relations.
Philippa Pattison présente ici une revue de questions très documentée de ce domaine au développement duquel elle contribue largement. Faute de disposer d’instruments puissants et faciles à mettre en œuvre pour analyser et représenter de grands réseaux, on s’est pendant longtemps limité à l’examen de réseaux de petite taille correspondant à des petits groupes, des organisations ou des réseaux entre entreprises ou entre pays. La logique de la sociométrie restait très prégnante. Les études des échanges sur internet mais aussi les réseaux de parenté ont conduit à développer des outils d’analyse et de représentation qui peuvent prendre en compte plusieurs milliers de sommets. La possibilité de visualiser de grands réseaux et de voir les résultats de décompositions, d’extractions de sous-ensembles a largement changé les pratiques d’analyse et les comportements.
La mise en œuvre d’une recherche de structures de renchaînement d’alliances telle que celle que présente ici Douglas White n’est rendue possible que grâce à ces nouveaux outils de traitement des grands réseaux. Il faut repérer les cycles dans le graphe de parenté et les classer par types. Mais l’intérêt pour les grands réseaux a aussi d’autres raisons. Les chercheurs sont intéressés dans l'expérience de Milgram sur le petit monde : il a demandé à 296 personnes d’envoyer un dossier à une personne à Boston au moyen d’intermédiaires qui se connaissaient. 217 dossiers ont réussi à arriver. La conclusion de cette expérience est qu’on a besoin de 6 personnes pour relier 2 personnes qui ne se connaissent pas. Cela fait croître l'intérêt pour le développement d’internet.
Les chercheurs sont centrés pour créer un modèle de réseaux qui prennent en compte sa structure pour l’innovation et que ces réseaux n’aient pas de dimension en utilisant les mathématiques de l‘époque.
VOCABULAIRE SPÉCIALISÉ :
Voici un peu du vocabulaire spécialisé ou des mots qu'il est important de comprendre pour lire cet article dans son intégralité.
F de R : BBasica et littéralement, c'est un lieu de recherche, dans ce cas, c'est là que sont effectués les tests sur les réseaux sociaux.
Réseau : Groupe d'individus maintenant un lieu.
Côtoyer : C'est fréquent.
Amitié : Un lien cordial entre deux ou plusieurs individus.
Triade : C'est un groupe de trois, nous avons trouvé ce mot très curieux car nous ne connaissions absolument pas son sens, mais nous nous sommes rendus compte qu'il est très important de comprendre l'explication de l'étude des réseaux.
Avis : L'opinion.
Faible : Pas très solide, par exemple : "Cette corde est trop faible pour supporter ce poids."
Hypothèse : C'est une possibilité ou une supposition, par exemple, la police n'écarte aucune hypothèse.
Loi : Règles communes, en l'occurrence celles partagées par les personnes en général qui partagent un réseau.
Empirique : Signifie qui est lié à l'expérience, dans ce cas il est contextualisé avec l'expression connaissance empirique qui fait référence aux connaissances que nous acquérons par l'expérience.
Recueillir : C'est une autre façon de désigner l'obtention de quelque chose, par exemple La candidate recueilli 60% des suffrages.
Dossiers : Ensemble d'informations sur un sujet. Nouer : ça s'écrit comme le gardien allemand, par exemple Nos pays ont noué d'excellentes relations
NOTRE POINT DE VUE
Explication :
En conclusion, dans cet article, on précise qu’il serait intéressant de réaliser cette même étude mais avec Internet. En effet, changer les moyens par lesquels l’information commune est distribuée peut influencer la façon dont les individus interagissent les uns avec les autres. Actuellement les catégories sont les mêmes, mais le moyen par lequel les activités se transmettent d’un individu à l’autre passe par la technologie, nous parlons directement depuis internet, cela accélère ce processus et génère de nouvelles sources d’intérêt. Aussi au moment d’établir des relations sociales peut se faire à travers un écran.
Description :
Cet article parle de la recherche qu’a été réalisée pour démontrer comment les personnes créaient des liens personnels entre elles. Il est important de dire que cette étude a été réalisée avant le développement technologique. Durant l’article s’exprime brièvement comment les goûts personnels, les intérêts communs, le genre, etc., pourront influencer sur la décision de créer des liens. Il se trouve au final de la recherche que ces conditions influent dans les relations sociales.
Opinion :
Nous pensons que l'article est correct en raison des expériences sociales individuelles de chacun de nous, nous continuons à créer des liens personnels avec les personnes que nous trouvons intéressantes, et nous ne les trouvons intéressantes que parce qu'elles partagent nos intérêts communs, même si nous ajoutons que le fait d’avoir internet ne ferait que changer les moyens par lesquels nous partageons nos intérêts communs et non les mêmes
Réflexion :
Les liens entre les gens sont très forts, tout le monde a été en contact indirectement, maintenant plus avec les réseaux sociaux, en ce moment plus de liens se tissent du fait que certains partagent les mêmes goûts ou hobbies ; ou même les mêmes conditions, qu'elles soient sociales, ou de genre. Il convient également de noter à quel point les informations peuvent être rapidement transmises via ces réseaux sociaux, même sans réseaux sociaux.
Grâce à la portée des technologies, il est proposé de créer un monde de communication à travers les réseaux sociaux et de réaliser une structure innovante pour connecter des personnes qui ne se connaissent pas.
L’ARTICLE ET L'ENSEIGNEMENT DES LANGUES
Les relations sociales sont un pilier fondamental de la communication. Cela signifie que sans relations sociales, il n'y aurait aucune raison de communiquer. L'enseignement et l'apprentissage des langues étrangères fondent leur fonctionnement sur la communication. En conclusion, puisque la communication est basée sur les relations et l'enseignement sur la communication, l'un ne serait pas possible sans l'autre, trouvant ainsi une relation intrinsèque entre les relations sociales et l'enseignement/apprentissage des langues étrangères.
















